- ces scooters qui sont toujours utilisés de façon la plus inusité possible : soit pour transporter une famille de 5 ou 6 personnes ou encore de grosses piles de feuilles d'osiers, des paniers de légumes, des briques, n'importe quoi!
- un mélange incroyable de religions, des femmes voilées ou non, des hommes qui portent le kufi ou non, et tout ce beau monde qui n'en font aucun cas;
- la lessive qui sent bon;
- gérer les prix avec leurs nombreux multiples de 10; (10 000 Rp = 1$ CAD).
- des boyaux d'arrosage dans les toilettes, semblables à ceux que l'on retrouve sur nos éviers de cuisine (les « hoses à noune »);
- des tables de restaurant qui ne sont jamais lavées, juste essuyées avec une napkin sèche;
- des tables de restaurant qui ne sont jamais lavées, juste essuyées avec une napkin sèche;
- des enfants qui crient sur notre passage : « hello mister! hello! » (peu importe notre genre);
- du goreng, du goreng et encore du goreng (tout est frit, tout est gras);
- des unités de longueur ou de temps qui n'ont rien à voir avec ce que l'on connait (« only one kilometer », « in 5 minutes »;
un mie goreng (nouilles frites) |
- des unités de longueur ou de temps qui n'ont rien à voir avec ce que l'on connait (« only one kilometer », « in 5 minutes »;
- du Bob Marley qui joue partout et généralement suivi par du Bruno Mars (l'ordre alphabétique doit y être pour quelque chose...);
- des coqs qui crient du lever au coucher du soleil, incessamment;
- des touristes aux jambes tout écorchées, généralement par des accidents de scooters, d'autres fois par des accidents de snorkeling!
- des repas à 10 000 Rp (1$);
- des camions dont la boîte est remplie de femmes voilées;
- l'odeur des cigarettes indonésiennes, qui sont au clou de girofle;
- manger avec une fourchette et une cuillère; jamais de couteau.
- sur la table, trois petits pots de sauce (kecap manis, sambal et saus tomat) et un contenant à napkin (généralement vide);
- les jeunes indonésiens qui savent tous dire bonjour, comment ça va, comment tu t'appelles, comme ci comme ça et merci beaucoup (il y a vraiment beaucoup de touristes français en Indonésie);
- se faire aborder dans la rue par les Indonésiennes qui nous disent que nous sommes belles et qui veulent parfois se faire prendre en photo avec nous;
- du savon toujours trop dilué dans les toilettes;
- des happy hour aux règles pas toujours claires;
- des trottoirs qui montent, qui descendent, avec d'immenses trous ou simplement absents;
- se faire aborder continuellement « Yes, please, look, transport? cheap cheap, good price for you my friend, where you going today? want to go Bali? Lombok? Gili? »;
- abandonner la politesse d'attendre que tous soient servis avant de manger : il est possible qu'une personne ait terminé son plat avant même qu'une autre soit servie;
- commander puis, cinq minutes plus tard (ou parfois même, juste une fois que l'on demande) « Sorry miss, no more [insérer ce que vous avez commandé ici] ».
- des coqs qui crient du lever au coucher du soleil, incessamment;
- des touristes aux jambes tout écorchées, généralement par des accidents de scooters, d'autres fois par des accidents de snorkeling!
- des repas à 10 000 Rp (1$);
- des camions dont la boîte est remplie de femmes voilées;
- l'odeur des cigarettes indonésiennes, qui sont au clou de girofle;
- manger avec une fourchette et une cuillère; jamais de couteau.
- sur la table, trois petits pots de sauce (kecap manis, sambal et saus tomat) et un contenant à napkin (généralement vide);
- les jeunes indonésiens qui savent tous dire bonjour, comment ça va, comment tu t'appelles, comme ci comme ça et merci beaucoup (il y a vraiment beaucoup de touristes français en Indonésie);
- se faire aborder dans la rue par les Indonésiennes qui nous disent que nous sommes belles et qui veulent parfois se faire prendre en photo avec nous;
- du savon toujours trop dilué dans les toilettes;
- des happy hour aux règles pas toujours claires;
- des trottoirs qui montent, qui descendent, avec d'immenses trous ou simplement absents;
- se faire aborder continuellement « Yes, please, look, transport? cheap cheap, good price for you my friend, where you going today? want to go Bali? Lombok? Gili? »;
- abandonner la politesse d'attendre que tous soient servis avant de manger : il est possible qu'une personne ait terminé son plat avant même qu'une autre soit servie;
- commander puis, cinq minutes plus tard (ou parfois même, juste une fois que l'on demande) « Sorry miss, no more [insérer ce que vous avez commandé ici] ».
L'Indonésie, c'est beaucoup beau!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire